Une rare occasion de voir le magicien du synthé analogique Thomas Lehn et le sublime souffleur John Butcher performer en duo.<br />
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Farida Amadou ramène la basse électronique à sa plus pure essence lors de la présentation de son premier opus en solo.<br />
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THOMAS LEHN (GER) & JOHN BUTCHER (UK)<br />
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On connaît Thomas Lehn de son long travail consciencieux sur l’EMS Synthi A, un synthé analogique unique des années septante. Outre ses collaborations avec des artistes comme Marcus Schmickler, Han Bennink, Andy Moor (The Ex) et eRikm, il a développé, en solo, un son inouï dans l’univers de la musique électronique.<br />...
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Une rare occasion de voir le magicien du synthé analogique Thomas Lehn et le sublime souffleur John Butcher performer en duo.<br />
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Farida Amadou ramène la basse électronique à sa plus pure essence lors de la présentation de son premier opus en solo.<br />
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THOMAS LEHN (GER) & JOHN BUTCHER (UK)<br />
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On connaît Thomas Lehn de son long travail consciencieux sur l’EMS Synthi A, un synthé analogique unique des années septante. Outre ses collaborations avec des artistes comme Marcus Schmickler, Han Bennink, Andy Moor (The Ex) et eRikm, il a développé, en solo, un son inouï dans l’univers de la musique électronique.<br />
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Titulaire d’un doctorat en physique, le souffleur John Butcher (saxophone ténor, saxophone soprano et clarinette) a néanmoins quitté le monde académique pour se consacrer à la musique. Son œuvre oscille entre l’improvisation, la composition, l’approche du saxophone en multipiste et l’exploration du feed-back dans des pièces à l’acoustique inhabituelle et dans des lieux qui ne sont pas dédiés aux concerts. Par le passé, il a collaboré avec des pointures de l’impro comme Derek Bailey, John Tilbury, John Stevens, The Ex et Gerry Hemingway. Il n’en est pas non plus à son coup d’essai dans la série Oorstof, qui l’a vu défiler en trio avec la violoncelliste Okkyung Lee et le batteur Mark Sanders, et en duo avec le batteur et percussionniste Gino Robair.<br />
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FARIDA AMADOU (BEL)<br />
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Nous ouvrons la soirée avec la présentation du premier album solo de la bassiste Farida Amadou, l’une des nouvelles étoiles les plus remarquables au firmament européen de l’impro. Cette autodidacte parvient à extirper des sons fascinants de sa basse Fender, sans jamais perdre de vue la musicalité. Son (jeune) palmarès lui vaut d’ores et déjà d’être reconnue en Belgique et au-delà grâce à des collaborations stimulantes avec des sommités comme Peter Brötzmann, Thurston Moore (Sonic Youth), Ken Vandermark, Marker, Mette Rasmussen, Hanne De Backer, Wolf Eyes, Audrey Lauro et Julien Desprez. Depuis leur première rencontre au Summer Bummer Festival en 2016[CG1] , elle joue régulièrement avec le batteur anglais Steve Noble (Rip Rig & Panic, Æthenor, Saint Francis Duo) et en 2018, elle a même officié au sein du groupe de punk liégeois Cocaine Piss.<br />
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En collaboration avec Oorstof
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